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Empowerment individuel & pouvoir d’agir collectif face à l’hégémonie capitaliste mondiale

D’une autonomie célébrée par le coaching managérial aux zones à défendre qui réinventent le commun,
ce dossier interroge la frontière entre émancipation personnelle et lutte politique collective.

« Un empowerment purement individuel est insuffisant : il doit s’inscrire dans un projet collectif conscient. »

Que trouverez-vous dans ce dossier ?

• Cadres théoriques : Foucault, Gramsci, Hardt & Negri, Butler, Rosa…
• Typologie des trajectoires d’empowerment : de l’émancipation critique à sa récupération néolibérale.
• Études de cas : ZAD, zapatistes, plateformes coopératives, collectifs de livreurs, #MeToo/Ni Una Menos.
• Mécanismes de neutralisation : coaching managérial, marketing du bien-être, start-upisation du social.
• Conditions d’un pouvoir réellement subversif : repolitisation, espaces collectifs encapacitants, autonomie critique, alliances inter-luttes.

TL;DR

L’empowerment devient un véritable levier de transformation seulement lorsqu’il fusionne le « je » et le « nous ».
Isolé, il se fait récupérer par l’hégémonie capitaliste ; collectivisé, il ouvre des brèches vers une contre-culture, des pratiques coopératives et des coalitions transnationales capables de contester l’ordre néolibéral.

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