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État des lieux des Civic Tech et de l’Open Data en Belgique
Panorama national : Bruxelles, Wallonie, Flandre – trois approches régionales, un cadre fédéral commun.
Entre participation citoyenne numérique et ouverture des données publiques, la Belgique fourmille d’initiatives.
« En Belgique, la dynamique civic tech et open data varie selon les régions, tout en bénéficiant d’un cadre fédéral commun. »
Que trouverez-vous dans ce dossier ?
- Un tour d’horizon régional : plateformes Participation.brussels, Democratie.brussels, ODWB, VODAP, data.gov.be…
- Les acteurs publics et associatifs clés (perspective.brussels, Digital Wallonia, Digitaal Vlaanderen, Open Knowledge BE, Anticor/Transparencia, CitizenLab, Civic Labs…).
- Les outils open source adoptés : Decidim, CKAN, Alaveteli, OSM, QGIS…
- Un inventaire des projets-phares : budgets participatifs (Namur, Gand), signalement citoyen (FixMyStreet, BetterStreet), plateformes de pétitions (MonOpinion).
- Les cadres juridiques et normes : décrets Open Data, loi fédérale 2016/2023, standards DCAT-AP et OSLO.
- Des perspectives pour renforcer l’interopérabilité, le libre, et la participation « bottom-up ».
TL;DR
La Belgique affiche un écosystème civic tech foisonnant :
- Bruxelles mise sur Decidim pour ses commissions délibératives et une plateforme régionale de participation.
- La Wallonie accélère l’ouverture des données (ODWB) et voit exploser les pétitions électroniques.
- La Flandre reste pionnière des portails open data (VODAP) et des budgets de quartier à Gand.
Un socle open source mutualisé (Decidim, CKAN) et des cadres légaux harmonisés créent un terreau fertile, tandis que la société civile impulse transparence et innovation (Transparencia, Civic Labs).
Défi : pérenniser ces démarches et assurer l’inclusion numérique pour que chaque citoyen devienne co-acteur des politiques publiques.
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